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Le jour où j’ai repris mon pouvoir. De la dépendance à la responsabilité...


Je pense que nous nous sommes tous retrouvés à un moment ou l’autre de notre vie avec des dépendances de tout genre. Elles peuvent être dictées par la société dans laquelle nous vivons ou pas des besoins plus profonds…

On dépend :

De l’eau et de la nourriture pour survivre,

De travailler pour gagner de l’argent,

Une voiture pour se déplacer

Mal-aimé, on dépend des différents amoureux qui se défilent pour se sentir aimé, vivant

Dans le mal-être et malade, on dépend de la caféine, de l’alcool, du magasinage, et même de professionnels de la santé…

Qu’est-ce que la dépendance?

Selon le Larousse, la dépendance est un :

  • État de quelqu'un qui est soumis à l'autorité d'autrui ; sujétion, subordination

  • État, situation de quelqu'un, d'un groupe, qui n'a pas son autonomie par rapport à un autre, qui n'est pas libre d'agir à sa guise

  • Assujettissement à une drogue, à une substance toxicomanogène, se manifestant lors de la suppression de cette dernière par un ensemble de troubles physiques et/ou psychiques.

La dépendance pour moi résulte de l’oubli de sa force et son pouvoir …

C’est mettre son pouvoir dans la main de quelqu’un d’autre (ou quelque chose) en pensant qu’il sait ce qu’il y’a mieux pour nous, qu’il peut décider à notre place, qu’il peut nous offrir ce que nous n’avons pas, qu’il peut combler un vide (car nous ne savons pas encore comment le faire)

Dépendants, que cherchons-nous?

Comme plusieurs d’entre vous, j’ai dit « oui » à toutes sortes de dépendances. Ça prenait souvent la forme d’obligation et j’employais des termes tels qu’«il me faut… », ou « je dois … »!

Je croyais avoir réellement « besoin » de toutes ces personnes ou choses (achetées ou prises) pour:

  • Calmer ou cacher un mal-être

  • Chercher des réponses, des solutions à l’extérieur de moi

  • Me faciliter la vie,

  • Me donner la « permission » de vivre ou d’être

Mais j’arrivais tout à fait au contraire de ce que je désirais. Je me sentais même enfermée dans une roue qui tourne en continu,

Plus mes besoins ne sont pas satisfaits, plus je mangeais, j’achetais, je travaillais, etc., mais mes insatisfactions montaient. Et ainsi de suite … jusqu’à ce qu’un jour, mon corps décida de sortir de cette roue en « tombant en panne » !

C’est là que j’ai réalisé que mon pouvoir n’était pas dans mes mains, mais je l’avais donné aux autres à ces choses, et ce depuis toujours…

Les signes de dépendance / oublie du pouvoir

Les signes de la « dépendance / oublie du pouvoir » peuvent varier d’une personne à une autre :

  • Du côté physique, exemples : Faiblesse, migraines, anémie, douleurs aux épaules et/ou genoux, des troubles de l’estomac ou des intestins, côlons irritables, infections urinaires, troubles aux reins, prise de substances.

  • Du côté émotionnel, exemples : Plaisirs temporaires, l’anxiété et la pression, l’impulsion, tristesse, colère.

  • Du côté mental, exemple : Tourné vers le passé (regret) ou l’avenir (attente, pression). Discours d’automutilation (discours négatif envers soi), des pensées négatives envers les autres (si nos besoins ne sont pas satisfaits), etc.

  • Du côté relationnel, exemples : Reproches, manipulation, toujours dire oui, se sentir inférieur par rapport à l’autre ou au contraire dominant, jalousie, relations amoureuses multiples en même temps, fusion, séparations difficiles, violence.

La dépendance, une paresse ?

Le dépendant, que nous pouvons être, est paresseux, il croit que la cause de son malheur est toujours à l’extérieur : « c’est la faute aux autres, aux circonstances; donc, c’est aux autres de me trouver une solution! » Mais cette recherche continue à l’extérieur prend du temps, peut-être même une vie…

Alors que le plus grand travail à faire est à l’intérieur de soi.

Ça peut être laborieux de se dévêtir tel un oignon pour trouver la cause, mais nous sommes bien sûr de la trouver à la fin !

De la dépendance à la collaboration

À travers cet article, vous l’auriez compris, je ne suggère pas aux lecteurs que vous êtes, d’arrêter de manger ou de travailler !

Au contraire, vivez tel que vous le désirez, et bien sûr consultez les spécialistes (médecins et autres) quand c’est nécessaire et comme vous voulez…

Mais il est différent d’agir en conscience, dans un esprit de collaboration, de partage et non de dépendance.

La dépendance n’est-ce pas la paresse de se connecter à soi ?

D’ailleurs, c’est pour ces raisons que j’ai choisies des pratiques tels que le Reiki et le Coaching, que je pratique toujours avec passion, car elles incitent à :

  • Accompagner tous en respectant l’autre, il est le seul à faire son chemin…

  • Suggérer, et non de demander, exiger ou dicter une conduite…

  • Permettre à l’autre de se re-connecter à sa sagesse, car il est bien le seul à détenir toutes ses clés …

Reprenez votre pouvoir

En reprenant mon pouvoir, j’assume que je suis la seule responsable des décisions que je prends, que je suis responsable des situations et des gens que j’attire,

J’accepte aussi d’apprendre, et d’avancer tout en demandant à ma sagesse intérieure, à mon cœur, et à mon corps ce qui me convient le mieux,

J’ai en ma disposition tout ce dont j’ai besoin …

et si j’ai envie d’aller plus loin et plus rapidement, je collabore avec les autres à travers des liens seins et sereins tout en les acceptant et les respectant,

mais je refuse et j’éloigne de moi tout lien toxique avec qui que ce soit ou quel que soit …

J’ai le pouvoir sur ma vie…

Au prochain article... Ouassima


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